| | | pearson l. ; ended |  |
| | | Auteur | Message |
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Lynn L.Pearson
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|  Sujet: pearson l. ; ended Dim 15 Fév - 20:59 | |
| - Spoiler:
pseudo / nom ; eclipsee / élodie
âge ; douze ans
personnalité sur l'avatar ; keira knightley
votre avis concernant le forum ; magnifique, qu'est ce que vous voulez que je vous dise de plus?
où avez-vous connu le forum? ; désolée je sais plus du tout
combien de fois pensez-vous venir ici? ; tous les jours normalement, principalement le soir
code ; code validé par owney
lynn lullaby pearson
elle est née à vancouver le treize mai 1875
elle avait dix-neuf ans lors de sa transformation,
c'est donc sous cet âge qu'elle se présente.
elle a souhaité avoir un régime 'végétarien'.
tuer... non merci.
Dernière édition par Lynn L.Pearson le Mar 17 Fév - 17:49, édité 1 fois | |
| | | | Lynn L.Pearson
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| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Dim 15 Fév - 20:59 | |
| des choses et d'autres...
ce qui vous rend unique ; certains vampires, dont moi, ont un don. je peux savoir si les gens me mentent ou pas, humains comme vampires, vampires comme loups garous. c'est un don très utile, surtout avec les mortels, car à partir du moment où je sais qu'ils ne sont pas honnêtes avec moi, je peux les cuisiner, grâce à mon physique avantageux de vampire, jusqu'à ce que j'obtienne la vérité.
vos valeurs morales ; on pourrait dire que ma douceur est peu commune. je l'ai trainé toute mon humanité, et au contraire de ma malchance, ce fut un trait de caractère que, transformée, je fus heureuse de retrouver.
pourquoi êtes-vous venus à raven gates? ; principalement à cause de ethan. c'est lui qui m'a proposé de venir ici. ne pouvant rien lui refuser, j'ai accepté. et puis, trois cent soixante cinq jours de pluie par an. qu'est ce qu'un vampire peut demander de plus?
ce que vous trainez toujours avec vous ; ma poisse. c'est incroyable, ça. humaine, je ne cessai de m'embarquer dans des histoires foireuses. je pensais qu'une fois vampire, cette malchance ne me poursuivrait plus, hélas...
Dernière édition par Lynn L.Pearson le Dim 15 Fév - 23:04, édité 2 fois | |
| | | | Lynn L.Pearson
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| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Dim 15 Fév - 21:00 | |
| la vie n'est pas un long fleuve tranquille
apparence physique ; Je suis un vampire. Peau blanche, dure et glacée, prunelles dorées, gracieuse. (Her perception)
Lynn Lullaby Pearson: un mètre soixante-trois de beauté et de grâce accumulés. Belle et gracieuse, et ce plus que n'importe quelle vampire. Humaine, elle me fascinait. J'aurais pu passer des heures à l'admirer courant dans sa grande maison pour arranger des bouquets de fleurs, ici et là, quand ses parents organisaient une fête. C'était d'ailleurs mon passe-temps favoris, sans qu'elle le soupçonne. Quand je la regardais marcher ou trottiner, sa malchance habituelle n'avait plus de signification tellement la grâce et la beauté étouffait ce défaut. Je n'avais pas prévu qu'elle se fasse agresser par des lycéens. Tout ce que je pouvais faire, c'était la sauver. Ma surprise, tout autant que ma joie, a été immense quand elle s'est réveillée toute pleine de nouvelles forces, mais surtout plus belle que jamais. Encore aujourd'hui, quand je la regarde, sa beauté me cloue sur place, me coupe de tous mes sens. Pareille beauté devrait être interdite. (Ethan's perception)
Les fossettes sur des joues quand elle rigole, son sourire qui en fait craquer plus d'un, son corps parfait, tout ça est plus qu'agaçant. Même une fille aussi belle que moi arrive à en être jalouse. C'est quand sa transformation s'est achevée que j'ai compris pourquoi Ethan l'avait choisie plutôt que moi. Elle était tellement belle! Une seule chose qui s'est perdue, ce sont ses magnifiques yeux gris. Vous pouviez y plonger en ayant l'impression de ne pouvoir jamais en resurgir. Maintenant, elle a des prunelles aussi splendides que les miennes, ambre, ocre, topaze et peu souvent noires. Elle est... Ah, formuler cela, même en pensée, est dur, mais plus que vrai: elle est magnifique. (Juliette's perception)
attitude avec les autres ; "La solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. La solitude trouble les cerveaux qu'elle n'illumine pas". Sans être totalement asociale, j'ai du mal à nouer des relations avec les gens. Quand je suis en compagnie de gens, je ne suis pas dans mon élément, c'est comme si j'avais perdu ma langue, car dans ces moments-là, les mots "salut, ça va?" sont les seuls que je connais. Humaine, dès qu'on m'adressait la parole, j'avais la mauvaise habitude de rougir jusqu'à la racine de mes cheveux. C'est une chose qui s'est perdue pendant ma transformation et j'en suis bien heureuse. Mais c'est tout de même un défaut, il existe même des gens assez rancuniers pour m'en vouloir de ne pas être assez extravertie. Car les gens aiment les belles personnes et, caractéristique de vampire, je fais partie des "humains" attirants, je parait même être un bon coup pour les garçons. Néanmoins, mon entourage me dit douce, sympathique mais, c'est vrai, peut-être un peu trop renfermée.
caractère ; C'est une chose assez complexe à décrire: soi-même. Etant de nature plutôt timide et discrète, je n'aime pas qu'on oriente les projecteurs vers moi, qu'on me mette au centre de l'intérêt. J'aime qu'on s'occupe de moi, certes, car j'ai trop été délaissée, mais avec modération. Calme et réfléchie, plutôt que d'agir à la va-vite, je vais réfléchir, préparer et ensuite faire. Ce n'est pas un manque de courage, du fait que je repousse l'action pour mieux préparer avant, absolument pas. Car s'il y a bien une chose que je fuis, c'est la lâcheté. Courage, fuyons: telle n'est pas ma devise. Méfiante, aussi, mais trop souvent. Ma capacité à savoir si les gens me disent la vérité ou non m'a appris à contrôler cette méfiance, mais humaine, je devais avoir l'air d'une fille qui a peur de tout. Dans un sens, c'est vrai, car je suis extrêmement fragile. Une poupée de porcelaine, on dirait qu'à la moindre parole je suis capable de fondre en larmes. Mais ça, c'est bien sur faux, puisque pleurer ne m'est plus possible. L'envie de pleurer d'un vampire est étrange, sans larmes salées en tout cas. C'est une deuxième chose de mon humanité que je ne regrette pas, comme le fait de rougir. Je pleurais souvent, pour un rien. Ce n'est pas de la susceptibilité, simplement que dès que je m'énervais un peu ou étais triste, je pleurais. Mais pas trois petites larmes et on oublie tout: une véritable fontaine! Un défaut des plus gênant. Aujourd'hui, je suis décrite comme douce, confiante, sympathique, aimante. Je pourrais faire une bonne mère, mais c'est hélas impossible.
Dernière édition par Lynn L.Pearson le Lun 16 Fév - 16:27, édité 3 fois | |
| | | | Lynn L.Pearson
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| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Dim 15 Fév - 21:00 | |
|
« Noah et Isabella ont le plaisir d'accueillir
une nouvelle personne dans la famille.
Lynn, 45 cm, 2,454 kg. »
Plaisir... Si ils avaient prévu qu'ils rendraient la vie difficile à leur fille,moi, ils auraient pu appeler ma naissance autrement. Il fallait que je sois parfaite. Deux avocats riches, oui: leur fille devait être parfaite. Je savais d'ores et déjà avec qui je me marierais. Elias Klein. J'en vomissais d'avance: un blond, grand, baraqué qui se croyait beau... Je crois que s'il n'y avait pas eu cette bagarre ou plutôt si je ne m'étais pas faite tapée dessus, je me serais donnée le droit de me suicider. Retour en arrière...
Comme toujours, je m'assis devant, au même endroit que les intellos.
Je n'en étais pas vraiment une, c'était une exigence de mes parents pour faire "bonne impression". Je n'avais pas vraiment de bonnes notes, en fait, les maths faisaient tout baisser puisque j'étais nulle dans cette matière. Mais philosophie... Je m'en sortais assez bien. Le prof me posa une question, me tirant de mes réflexions.
« Le t... »
« CHOUCHOUTE ! », beugla quelqu'un à l'autre de la classe, m'interrompant.
« Mais tu vas la boucler, oui? »
« Pearson, McWayne », intervint le prof d'une voix parfaitement calme.
Je perdais rarement mon self control, mais en cours: non. Je répondis à la question du prof, la cloche sonna, je sortis. Je ne pensais pas que Lisa McWayne allait m'en vouloir. Elle avait beau être grande et costaude, elle ne me faisait pas peur. Au fond, elle est comme les autres: une trouillarde. Ce qui me chagrinait un peu plus, c'était mon cinq cent mètres de marche. Cinq cent mètres, c'est la distance qui sépare ma maison de mon arrêt de bus. Je détestai sortir à dix-huit heures parce qu'il faisait nuit, et que ces cinq cent mètres sont au travers de ruelles sombres.
Mais j'aurais du me méfier de McWayne. Elle était là, dans la dernière rue avant la mienne. Non seulement elle était là, debout, donc plus imposante qu'assise, mais deux gros balourds l'avaient accompagnée. J'étais morte, je le savais. Ils avancèrent vers moi, mon débit de respiration s'accéléra mais je ne bougeais pas. Puis, tout se passa très vite. Je me retrouvais par terre, Miss McWayne sur moi en train de me défigurer. Je n'essayais même pas de me défendre, je n'avais aucune chance. Et mes gémissements les faisaient rire. J'ignore combien de temps cela dura, mais je savais une chose: j'étais en train de mourir. Le sang s'était rependu sur ma robe blanche, et je n'arrivais même plus à bouger.
Ethan Alexander Cohen. Il était mon voisin en philo, je l'avais vu lancer un regard à McWayne, cet après-midi. Il ne parlait pas beaucoup, voire pas du tout, mais je le trouvais absolument splendide. Je n'étais pas la seule des filles à le trouver à mon gout, mais il montrait une once d'intérêt pour aucune d'entre nous, à l'instar de moi avec les garçons qui me draguaient. Je soulevai péniblement mes paupières gonflées. Son visage blafard était penché au dessus du mien, cabossé. Si j'avais pu, je lui aurai demandé de me laisser mourir en paix, mais il me souleva avec une aisance hors du commun. J'étais légère pour une humaine, certes, mais un être normalement constitué, il aurait du gémir un peu comme le font les gars qui soulèvent des poids, à la télé, les "musclors". Il se mit carrément à courir très vite, toujours sans manifester de la fatigue. Il n'avait même pas l'air essoufflé. C'est alors que, perdue dans la contemplation de son magnifique visage, je sombrai.
Je me réveillai dans une pièce claire. J'étais chez les Cohen. Le visage d'Ethan, aussi pâle que le reste de la pièce, n'était pas tourné vers moi mais vers Juliette, sa sœur qui me détestait, et il lui parlait si vite que je ne comprenais pas un traitre mot. Au milieu de leur conversation, je compris deux mots et un nom propre.
« La morphine, Juliette. »
La morphine sert à apaiser la douleur. Douleur? Ethan m'avait ramenée chez lui pour me faire souffrir encore plus? Je tentai de me débattre malheureusement sa sœur me tenait avec force et je ne pouvais pas bouger. Il se pencha une nouvelle fois et me chuchota:
« Je suis désolé, Lynn. »
Pourquoi était-il désolé? Depuis que je l'avais rencontré, ma vie avait pris un sens, je venais enfin de comprendre pourquoi j'étais née. Ma naissance avait été programmée pour que je puisse l'aimer en toute tranquillité. Alors de quoi s'excusait-il? Je ne comprenais plus rien. Je sentis un mouvement s'effectuer, quelqu'un bouger, puis ses lèvres glacées se posèrent sur ma gorge. Et quelque chose me fit hurler. C'était donc ça. Il m'avait emmenée dans sa maison pour me faire souffrir encore plus. Il n'était pas le gentil futur mari que je m'étais imaginée. Il se fichait de moi, comme les autres. Parmi tout ce qui me faisait mal, je le sentis prendre ma main. Ce geste était comme un signal, on aurait dit qu'il me promettait de ne plus jamais la lâcher.
chapter two ; transformation
C'était indescriptible. Je pouvais avancer des mots comme souffrance, déchirure, mais rien ne correspondait pleinement à ce que je ressentais. J'avais mal, certes, je n'avais jamais autant souffert de ma vie, autant mentalement que physiquement. Pourquoi Ethan ne m'avait-il pas laissé mourir? C'est vrai, là, j'étais en train de mourir, mais d'une façon encore plus douloureuse. Je me serais faite cassée le nez cent fois par McWayne, s'il le fallait, mais pitié, il fallait arrêter cette torture. Cela durait depuis trop longtemps, d'ailleurs. Quand allais-je mourir? Car c'était tout ce que je voulais. Mourir. Ne jamais être née. Ou alors être quelqu'un d'autre que Lynn Pearson.
Pour reprendre, j'étais absolument déroutée. J'avais l'impression d'être à la fois écrasée par les fesses d'un éléphant, brulée vive et découpée en petits morceaux qu'on va aller cuire dans la cocotte minute. J'avais envie de mourir plus que tout. Le pire, c'est que j'avais l'impression de ne pas pouvoir bouger, comme si j'étais clouée sur place. Cela rendait la douleur encore plus affreuse. Je n'arrivais même pas à crier, j'étais muette, sourde, mais douloureuse. Ethan n'avait pas le droit de m'avoir infligé ça... Mais le mal était fait. Je continuai de prier pour mourir, par dessus ma douleur.
« C'est fini », annonça Ethan par dessus mes gémissements.
Alors, c'en était fini. Mais de quoi? De ma vie? De la douleur? J'optai pour ma vie, car la voix d'Ethan se fit de plus en lointaine. Je mourrai, j'étais en train de mourir. Finalement... tant mieux. Soudain, mon dos s'arqua, se décollant de là où j'étais, pour finalement retomber sur le lit. Il n'y avait plus un bruit. Plus personne ne criait. Ou étais-je? Au paradis? Après neuf tentative, je parvins à ouvrir les yeux. On aurait dit que je voyais tout. Comme si j'avais des sens surdéveloppés. A côté de moi, je découvris Ethan. Combien d'heures avais-je passé à contempler sa stupéfiante beauté? Je ne sais pas, mais il était encore plus beau. J'en aurais eu le souffle coupé. Seulement je ne respirais pas, et j'avoue que ce n'était pas gênant. Je me souvins d'un tout petit détail et, d'un coup d'œil trop rapide, je posai les yeux sur ma main. Celle d'Ethan était toujours dedans. Mais elle n'était pas glacée comme d'habitude. Elle était tiède. Comme la mienne. Je le regardais de nouveau. Il était fasciné et fascinant.
chapter three ; immortality
Il fallait avouer que je m'en sortais plutôt bien pour un vampire. Certes, pendant un an environ, ma seule préoccupation avait été le sang et rien que le sang, mais c'était une étape nécessaire, Ethan et Juliette étaient aussi passés par là. Ce qui m'avait rassurée, à l'époque. Je ne les avais d'ailleurs pas beaucoup vus, cette année. Juliette ça m'arrangeait un peu puisqu'elle ne m'aimait pas, mais Ethan... Il m'avait appris à chasser proprement et il m'avait laissée en autonomie. J'étais cependant très gênée quand on abordait le sujet de mes premières chasses car apparemment, en un mois, j'avais tué plus d'animaux que Ethan et Juliette réunis. Sacrément embêtant. Mais ça s'était arrêté: mes prunelles avaient fini par virer au doré, caractéristique des vampires "végétariens".
« Pourquoi Juliette ne m'aime pas? », demandai-je à Ethan une nuit de juin.
« Elle t'apprécie, qu'est ce que tu vas imaginer? »
« Tu me mens, Ethan. »
« Comment le sais-tu? », me murmura-t-il brusquement alarmé.
« Je le sens. »
En réalité, j'avais un don. Certains vampires ont ça. Ethan, lui, pouvait lire les pensées des autres. En fait, il entend constamment des voix jusqu'à ce qu'il se focalise sur une, et là le brouhaha devient une seule et il peut déchiffrer les pensées, même les plus secrètes, de tout le monde. Ça l'irrite, ça lui apporte des mots de tête. Je possède un don silencieux. Quand quelqu'un ne me dit pas la vérité, je le sens. Je le sais. Don silencieux, donc. Néanmoins, je n'appris pas pourquoi Juliette me détestait tant.
J'arrivais à me mêler à la populace humaine. Je ne respirais pas, par contre. Je n'avais pas besoin d'oxygène. Et vu que je ne respirais pas, je n'avais pas à supporter l'odeur alléchante des humains. C'était plus facile ainsi, mais nous devions souvent déménager. Trois lycéens qui ne vieillissent jamais... Nous faisions croire que nous allions à l'université mais en fait nous changions de ville. Juliette détestait ça. J'avais aussi pu aller voir mes parents, et j'avais du expliquer plusieurs fois l'histoire du fond de teint -j'avais la peau trop blanche par rapport aux photos affichées dans la maison. J'avais fini par les en dissuader, puis j'avais inventé un prétexte pour aller aux toilettes et changer mes lentilles. Je leur avais dit au revoir en leur promettant de revenir, mais c'était là une chose que je ne pouvais pas leur offrir. Je ne vieillirais plus, ils trouveraient ça bizarre. Mais ça ne me dérangeait pas de les quitter. Au contraire. En sortant, Ethan m'avait à son tour juré qu'on essaierait de revenir les voir, mais je n'en avais pas envie. Je lui avouai que j'en serait ravie. Néanmoins mes pensées lui étaient très claires et il ne s'y laissa pas prendre. Il attendait juste que je lui dise de vive voix. Je m'entrainerai.
Je me souviens de ce jour, le quatorze janvier 2009. J'étais en train de relire Orgueils & préjugés quand Juliette commença à crier, ce qui était totalement inutile puisque même si elle chuchotait, je pourrais l'entendre de l'autre bout de la maison.
Je laissai mon livre sur le lit -inutile- et descendis les escaliers d'un rapidité inhumaine. Dans la salle à manger -salle qui ne servait bien sur pas à se nourrir-, je trouvais Ethan, Juliette et... des cartons. Nous partions. Je soupirai. Ethan n'y fit même pas attention et se pencha pour ramasser quelque chose par terre, le mit dans un carton puis releva la tête vers Juliette pour lui répondre.
« Oui Juliette, on s'en va. Je sais que ça fait à peine un an qu'on s'est installés ici mais nous avons trop tardé. Même ici, à Portland, il y a trop de de soleil. Et puis j'ai découvert la présence de loups-garous dans cette ville, nous ne sommes pas en sécurité. »
« Mais... »
« Tu as toute la nuit pour préparer ta valise, nous partons demain matin. Raven Gate, dans le Nord. Trois cent soixante cinq jours de pluie par an. N'est-ce pas merveilleux? Nous irons peut-être à l'université si vous voulez que le voyage soit plus long que celui à Portland. Je vous trouverez même du boulot si vous voulez y rester. »
On ne discute pas les ordres du chef: le lendemain, nous étions partis.
Raven Gate était une jolie petite ville dans l'État de Washington. Ethan avait eu raison, c'était exactement l'endroit qu'il nous fallait car quand nous déboulâmes dans la ville, il pleuvait. D'ailleurs, je vis de tout à RG: pluie, grêle, neige et même verglas. Tout sauf du soleil. Ce qui est bien, pour des vampires scintillants au soleil.
| |
| | | | Lynn L.Pearson
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| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Mar 17 Fév - 17:50 | |
| Je crois avoir terminé.
A mon avis, la fiche est moins bonne qu'au début, parce qu'en fait, j'ai perdu celle de départ en éditant quelque chose à midi, tout s'est effacé, j'ai du tout réécrire :s | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Mar 17 Fév - 18:26 | |
| Bienvenue-
J'adore ta fiche ! |
| | | | Emyleeh D. Lewis
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c'est toujours mal agir. »
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| | | | | Lynn L.Pearson
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| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Mar 17 Fév - 18:41 | |
| De même pour Emily =)
Merci à vous deux | |
| | | | Gwenaël O'Quinn
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CUTE WOLF
•bouletadmin
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| | | | | Lynn L.Pearson
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| | Sujet: Re: pearson l. ; ended Mer 18 Fév - 18:08 | |
| Ahhh, merci du compliment =D J'avoue j'ai pris du plaisir à l'écrire. C'est bon signe pour la suite =) | |
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