| | | « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt |  |
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|  Sujet: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 17:34 | |
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 Jacinth Vanderbilt
• Carte d'identité;- NOM(S) : "Vanderbilt", est un nom aux origines Allemandes demeure sur terre depuis maintenant des générations entières. Jacinth, n'en a pas honte et a toujours vécue avec, elle s'y est faite. Même si certains de ses professeurs à l'école avait plus de mal à le prononcer. Ce qui pouvait convoiter les moqueries de ses camarades, mais peu en importer la jeune demoiselle. Ce n'était que signe d'esprit immature et particulièrement gamin. - PRENOM(S) : "Jacinth" Ce nom typiquement Français désigne tout simplement une fleur. - AGE & LIEU DE NAISSANCE : Née le 30 décembre 1986, je suis née à Paris mais j'ai passée la plupart de ma jeunesse ici même à Raven Gates. - EMPLOI/NIVEAU DE SCOLARITÉ : J'étudie le droit encore aujourd'hui, c'est ma dernière année pour enfin obtenir mon diplôme. Car je sais que je pourrais faire justice un jour. PréfaceLa préface de mon histoire commencera par vous dévoiler, l’être qui se cache derrière mon regard d’ange. Mon premier est une jeune fille à papa, toujours collé à son pantalon. Je ne sais pas, la relation père/fille a toujours été fusionnel, certains spécialiste prétendent que c'est tout à fait normal. L'enfant tendance à être plus attaché à sa mère si c'est un garçon et au contraire si c'est une fille, c'est auprès du père que le bambin trouvera réconfort. Pour moi, Jacinth, sans aucune surprise, cette théorie est prouvée sans aucune contestation. Au-delà des jours où je portais encore une couche culotte, je ne faisais qu’être discrète. J’étais un bébé qui ne pleurait que par extrême besoin. Lorsque l’intérieur de mon corps bronchait afin d’avoir quelques centilitres de lait en plus. Cela me permettait alors de dormir paisiblement et de retourner à mes rêves où je me voyais grandir et jouer avec d’autres bébés de mon âge ou encore celui où mes parents m’avaient offert un biberon en or. Je n’étais pas dérangeante. Je fis mes nuits plus difficilement, pour m’endormir j’avais toujours le besoin de pouvoir reposer ma tête sur la poitrine poilu de mon père. Je ne peux prétendre que je n’ai pas été une petite fille appréciée par les adultes, oui. C’est bizarre, mais j’ai toujours fait ce qu’il fallait faire. J’ai toujours été si obéissante et serviable, aux yeux de tous, j’étais LA petite adorable. C’était toujours la première idée qu’on se faisait de moi et cette idée était finalement définitive.En grandissant, cela ne changea pas pour autant. A mon entrée en maternelle, j'étais toujours autant discrète, je préférais parfois rester dans ma classe tranquillement afin de colorier. Les cris des enfants qui jouaient dans la cour m'affligeaient un désir incroyable, je voulais me mêler à tous et rigoler comme eux. Mais ce n'était pas moi, non. C'était comme ci une barrière avait été dressée entre eux et moi. Je ne pouvais la sauter, elle me bloquait complètement. Et ce dura jusqu'à mon entrée au collège. En général, les gens venaient vers moi. Ce qui me faisait un plaisir fou, mais je ne savais quoi faire. Comment être drôle ? Comment me faire apprécier ? Bizarrement, ça passait tout seul. Plus le temps avançait et plus j'arrivais enfin à être une fille sociable et décoincée, malheureusement, j'avais toujours cette peur d'être imparfaite aux yeux de tous. Je ne sais pas pourquoi, leur regard m'importait tant. Mon épanouissement ne se faisait que par rapport à tous ces êtres humains avec lesquels je grandissais. L'un de mes principaux défauts. « Ave Mary A, where did you go ? »Le lycée est souvent pour tous, un signe de maturité qui ne fait que se développer. C'est une période importante de transition, car c'est à partir de là que notre futur commence à être tracé. Certaines personnalités se révèlent ici. Un changement s'opère en chacune des personnes que nous sommes. C'est aussi une aventure merveilleuse que nous vivons avant tout. Pour moi, Jacinth, ce ne fut que question d'une période changeante et évolutive. Une période incroyable de transition, ce fut un littéral changement. C'est à cette période que j'appris à m'affirmer en tous points. La fille naïve au visage d'ange, ne fit qu'être rangée dans un coin de mon passé. La naïveté ne fit plus partie de ma description. Je la hais et la méprise. Pour la simple et bonne raison que la rage hante à présent mon esprit, elle y repose en paix. La cause ? La mort de mon père. • Et sinon ? - Spoiler:
- PSEUDO/NOM : Anaïs, beautiful.awakening
- AGE : Sixteen.
- PERSONNALITE SUR L'AVATAR : Clemence Poesy
- VOTRE AVIS CONCERNANT LE FORUM : SUBLIME : rien à re-dire
- OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : sur Acide Edulcore
- COMBIEN DE FOIS PENSEZ VOUS VENIR ICI ? (en jours par semaine) 4/7
- AUTRES ... (une réflexion spéciale ?) nop.
- CODE : EDIT Trinity =D
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Dernière édition par Jacinth Vanderbilt le Lun 16 Fév - 2:19, édité 13 fois |
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 20:47 | |
| Chapter One. « The story of my fabulous life »
La nuit venait à peine de tomber dans les ruelles de Paris. La lune étincelait encore, elle faisait office d’éclairage. Un vent glacial faisait encore rage à cet instant. Malgré l’horrible froideur des rues, des rires se faisaient littéralement entendre. Pour ces humains à l’esprit encore éveillé, la fête venait à peine de commencer.
Les douze coups de minuits sonnèrent. A cet instant précis, Elizabeth se réveilla se tortillant dans tous les sens. Le doux ange qui avait bâti son cocon dans son ventre, se mettait à donner d’horrible coup. Tous espacés d’une dizaine de minutes. Mais forte, Elizabeth serra les dents, laissant passer la douleur afin de ne pas déranger son mari qui dormait encore à ses côtés.
« Chéri, je pense que tu devrais m’emmener à l’hôpital »
Les eaux avait inondés les draps, l’entrejambe de Matthew était quelque peu humide. D’un air grincheux, celui-ci se réveilla, laissant glisser sa main sur sa jambe. Sa femme avait perdue les eaux, et lui s’apprêtait à devenir papa. Des images effrayantes défilèrent dans son esprit, ces neuf mois avaient été tellement rapide. Etait-il prêt ?
« Matthew… »
L’interrompant dans ses rêves les plus fous, Elizabeth se leva à son tour avec difficulté, le bébé qui ne demandait qu’à sortir ne pouvait plus attendre. Elle attrapa sa valise qui était au pied du futur lit de ce nouveau né. « Allons-y ». Voyant que son mari ne réagissait plus, c’était à elle de prendre les initiatives. Battante et courageuse, malgré la douleur, elle attrapa les clés de la voiture et ouvrit la porte de leur appartement qui se trouvait dans le seizième arrondissement. Matthew lui attrapa la main et reprit les clés.
« Tu ne penses tout de même pas que je vais te laisser conduire ? »
A cet instant, Matthew pris la valise qu’Elizabeth avait encore entre les mains et la porta. « Ca va aller dans les escaliers ? », à cette époque, inutile de vous dire que les ascenseurs n’avaient pas encore fait leur apparition. « Oui ». C’est lentement qu’elle descendit les escaliers, marche par marche en direction de l’hôpital.
Plus tard…
Elizabeth venait à peine de s’endormir, après un dur travail qu’elle avait accompli dans la douleur et avec difficulté. Elle n’avait pas eu le temps d’embrasser son enfant, pleine de sueur, elle avait préférée se reposer. Madame lui en voulait, cette douleur atroce, inexplicable, elle ne l’avait pas digéré. Mais chaque femme se doit d’enfanter dans la douleur.
- C’est un garçon ?
- Non, une fille.
- Comment va-t-elle ?
- Et bien…Il y a eu des complications, elle est venue au monde le cordon autour du cou…
- Et ?
- Ça à engendrer des difficultés respiratoire, elle sous tube respiratoire. Mais ça devrait aller, elle est en garde à vu.
- Jacinth…
- Pardon ?
- On avait dit, si c’est une fille, son prénom serait Jacinth. Comme la fleur française.
- C’est vrai.
Un sourire aux lèvres se dessina légèrement sur le visage de Matthew, il était resté toute la nuit à côté de sa femme pour la soutenir dans cette épreuve. Il avait à peine réussi à fermer l’œil, à vrai dire, son excitation était toujours présente.
- Si tu le permets, j’aimerais me reposer chéri.
Sans brocher, il déposa un tendre baiser le front de son épouse. Elle était exténuée de fatigue et il ne voulait pas plus la déranger. Elle avait besoin de quelques heures de repos. Le travail qu’elle avait enduré était fatiguant, Matthew était pris d’admiration envers sa femme courageuse.
- Je viendrais te voir demain matin. Repose-toi.
Matthew se tourna en direction de la sortie. D’un pas léger afin de ne pas faire de bruit. Ouvrant la porte, il jeta un dernier coup d’œil pour admirer la beauté étincelante d’Elizabeth. Son visage était complètement méconnaissable. Il dégageait un air d’énervement, de tristesse et de soulagement.
Une larme descendit doucement sur le visage d’Elizabeth lorsqu’elle entendit la porter se fermer derrière elle. Avoir un enfant était une grosse charge à prendre, elle avait peur de ne pas être à la hauteur. D’un coup de langue, elle essuya sa larme qui vint se déposer sur ses lèvres.
Les jours passèrent et Jacinth commença à grandir sous le regard de ses deux parents. Bien qu’elle fût discrète, Jacinth était une enfant adorable pleine de joie. Une belle petite blondinette au sourire éclatant, comme celui d’un ange qui a le don de vous retransmettre le bonheur et la joie. C’était une petite fille sage qui demeura obéissante. Les Vanderbilt déménagèrent à Washington plus précisément dans une ville nommée Raven Gates alors qu’elle venait de fêter son cinquième anniversaire.
Après un déménagement, il faut un certain temps d’adaptation, une nouvelle ville, de nouveaux amis, de nouveaux voisins, une nouvelle école. Cela peut provoquer un chamboulement dans l’esprit des enfants. Pour la fillette qu’était alors Jacinth, ce ne fut pas très difficile. A Paris elle n’avait que très peu d’amis ou plutôt aucun. Mais cela lui convenait très bien, Jacinth n’avait pas l’habitude de se fondre à la masse par peur de l’être humain.
A son quinzième anniversaire, Jacinth était maintenant au lycée. Cette étape fût très importante pour elle, car le lycée fait place à l’avenir. Cela modifia quelque peu son caractère de solitaire, après un événement inattendu.
Ce jour là, c’était un Vendredi 14 janvier. Alors qu’Elizabeth attendait son époux pour fêter comme il se doit la St Valentin, il était environ 23h. Le téléphone de la maison sonna quelque fois avant qu’Elizabeth se décide à répondre. Téléphone posé contre son oreille, elle acquiesça de la tête sans dire un mot de plus. La décomposition de son visage laissa paraître un sentiment de douleur et de tristesse. Femme courageuse, elle n’était pas habituée à laisser paraître ses émotions, mais là, elle ne pouvait se contenir davantage. Elle regarda par la fenêtre du salon, pris les fleurs qui étaient posées sur la table basse et se dirigea vers la cuisine pour les jeter à la poubelle.
- Maman ?
- Oh, ma puce, je t’ai réveillée ?
- Non…enfin oui…j’ai entendu du bruit. Qu’est ce qu’il se passe ?
- Rien de grave, ma St Valentin est annulée.
- Mais pourquoi ?
- Ton père a eu un mystérieux accident, il est à l’hôpital, je ne sais pas pourquoi je réagis de cette façon d’ailleurs.
- Tu veux que je t’y accompagne ?
- Non ma chérie. Demain tu as école, je préfèrerais que tu te repose, on se voit demain.
Elizabeth attrapa son manteau, se dirigeant sans attendre vers l’hôpital. Une fois sur place, elle alla vers la chambre de son mari, on la dirigea vers la chambre n°435, au quatrième étage. Son cœur battait à toute allure, Elizabeth était prise d’une angoisse effroyable. Arrivée devant la chambre de Matthew, il y avait quelques médecins postés devant la porte qui discutait à voix basse. Les pas de son épouse n’étaient pas discrets, les médecins détournèrent leur regard alors sur elle.
- C’est…C’est mon mari qui est dans cette chambre.
D’une voix hésitante, elle prononça ces quelques mots.
- Mr Vanderbilt a subit un très gros accident. Nous pensons qu’il a été victime d’une bête sauvage l’ayant totalement défigurée. Vous pouvez entrer, mais cela risque d’être assez choquant.
- Il va s’en sortir ?
- Nous espérons que oui madame.
- Ce n’est pas suffisant.
D’un grand geste elle ouvrit la porte pour accourir au chevet de Matthew qui était lui dans un piteux été. Il ne pouvait ni bouger, ni parler. Il était dans un coma profond. Elizabeth s’effondra en sanglots, incapable de reprendre sa respiration calmement.
Après l’avoir laissée pendant un court instant auprès de son mari, les infirmières devaient lui faire quelques contrôles médicaux. Elle devait donc quitter les lieux. Le voir dans cet état vu affreusement difficile. Son visage n’était plus le même, ce n’était plus le même homme.
Des parties entières avaient été abîmées, comme ci l’on avait dégusté chaque morceau de sa chair. Comme-ci cet être avait été assoiffé de chair humaine, comme un repas qu’il n’avait pas mangé depuis plusieurs jours.
Sans s’attarder, Elizabeth pris ses affaires afin de rentrer dans sa propre maison. Le lendemain, elle avait laissé un mot sur le frigo disant à Jacinth de ne pas s’inquiéter, son père allait très vite se remettre. Son visage a subi quelques chocs, mais rien de grave. Bien qu’elle sache que c’était plus que ça, elle garda son esprit rempli d’optimisme, en plus de ça, elle ne voulait pas accabler son petit trésor.
Le lendemain, le téléphone sonna à nouveau, mais cette fois, il était à peine midi. Jacinth venait de finir sa journée de cours. Elle avait un professeur absent, ces dures heures de travail finalement prirent fin beaucoup plus tôt. A peine rentrée, celle-ci se dirigea directement vers la cuisine. Sa mère y était installée. Elle s’apprêta à répondre au téléphone qui avait sonné trois fois déjà.
- Allô ?
- Mme Vanderbilt ?
- C’est moi.
C’était les derniers mots qu’elle avait pu prononcer, cette fois-ci, c’était la fin. Matthew n’avait pas été assez fort pour se battre intérieurement. Son cœur avait lâché prise à 11h40. Il n’avait pas gagné son combat contre cette bête, non.
Le téléphone échappa des mains d’Elizabeth, on pouvait encore entre le son de la voix du médecin apportant ses plus sincères condoléances continuant son discours en expliquant que les membres de l’hôpital avaient fait tout ce qu’ils avaient pu faire. Le discours habituel.
Le corps d’Elizabeth n’avait plus la force de se tenir, elle se laissa glisser contre le grand meuble de la cuisine jusqu’au sol, cachant son visage derrière ses mains. Jacinth se précipita vers elle qui était assise sur le sol froid, se doutant de la nouvelle. Elle lui essuya les larmes même si sa mère la repoussa, elle continuait d’insister, Elizabeth se laissa finalement faire.
C’était une journée horrible pour cette famille si unie, qui restera gravée à jamais dans leur vie. Jacinth qui était si proche de son père, c’était une relation inexplicable qui avait commencé dès sa naissance. C’était autant difficile pour elle que pour sa mère. Depuis lors, Jacinth éprouve une haine accrue envers ses êtres qui hantent les forêts de Raven Gates, elle a l’espoir de pouvoir venger la mort de son père, Matthew.
Vu comme la fille d’un père décédé, cela attisa l’amitié de ses camarades. Venant un peu plus vers elle. Elle avait des gens extérieurs à sa famille auxquels elle pouvait se confier. Même si quelques fois, ce n’était que par simple pitié.
Le commencement de ses études à la Fac de droit. Elle venait d’entamer sa première année et sa dernière ligne droite. C’était un jour comme les autres, un jeudi. Alors qu’elle se rendait à son cours de Civilisation, elle croisa un nouveau qui venait d’arriver à l’université de Raven Gates. Il prenait ses livres et son emploi du temps à l’accueil. Leur regard se croisèrent, ce jeune homme si intriguant hanta les pensées de Jacinth jusqu’à son arrivée à sa salle de cours. Elle s’installa alors sur une table encore libre. Les places à côté de ses amis avaient déjà été prises.
Le regard ailleurs, une voix douce et charmante l’interpella.
- La place est libre ?
Jacinth vit alors le nouvel élève qu’elle avait aperçu bien plus tôt. Elle resta muette, celui-ci ne se gêna pas pour s’installer à ses côtés.
- Bon, et bien moi c’est Elliot.
- Excuse-moi, j’étais complètement ailleurs. Jacinth, moi c’est Jacinth
Dernière édition par Jacinth Vanderbilt le Lun 16 Fév - 2:02, édité 6 fois |
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 20:47 | |
| Chapter Two « I love you more than everything »
Ce n’est pas un garçon comme les autres. Celui là a su envoûter mon âme au premier regard. Je ne sais pas si c’était le destin mais sa rencontre a changée ma vie à jamais.
Nous étions en classe de Civilisation, alors que le cours n’avait pas encore commencé. Vous savez, ce nouveau garçon, Elliot. Je l’avais croisé rapidement alors qu’il était à l’accueil afin de récupérer ses livres et son emploi du temps. Cette première rencontre fut inoubliable, je ne pouvais m’enlever l’image de son visage de mon esprit. C’était magique, comme dans un conte de fée. Il avait un visage d’ange, suivit d’un sourire magnifique qui fait tomber les filles aux premiers regards. Il avait cet air de monsieur « beau gosse » qui ne se prend pas pour de la merde. Un air plutôt agaçant à vrai dire, mais si charmant. Mais j’ai succombé, j’ai faiblis, et il a posséder mon âme à tout jamais.
Il était venu s’asseoir à mes côtés, je présume qu’il m’avait demandé si la place était prise. Je ne pensais pas le revoir de ci tôt. En fait, au plus profond de moi, je l’espérais. C’était comme ci le destin nous avait rapproché ou bien qu’il avait pu lire dans mes pensées. Dans tous les cas, cette journée fut forte en émotion.
Avez-vous déjà cru au coup de foudre ?
Moi non plus. Mais cette fois ci, je ne pouvais révoquer cette chose à laquelle certaines personnes croient encore.
Sa couleur de cheveux, d’un blond châtain, éclairer son visage. Ses yeux à la couleur de l’océan en disaient long sur son caractère. Une personne sûre de lui, n’ayant crainte de très peu de chose. Personne qui s’exprime difficilement.
Notre relation commença par des taquineries et du mépris, mais comme on dit l’homme et la femme se recherche tout d’abord par cette phase.
Plus les jours avançaient, plus il m’agaçait à ce cours de Civilisation, il était embêtant, agaçant et sexy à la fois. J’étais certaine de faiblir, je le savais. Ce qui se produisit.
- Tu rentres seule chez toi Vanderbilt ?
- Lâche-moi Benjamin.
Benjamin était son deuxième prénom, c’était un de ses points faibles je présume. Il détestait que je puisse l’appeler ainsi.
A ce moment, il me retint par le bras.
- Laisse-moi t’accompagner.
- Mais pourquoi j’accepterais ta compagnie au juste ?
- Tu le sais mieux que moi, Jacinth.
La façon dont il prononçait mon prénom me fit tressaillir. Un léger frison qui explora mon corps de haut en bas. Mon cœur disait « oui » mais ma fierté criait un long et clair « non ». Je le regardai longtemps, j’espérais qu’il puisse deviner ma réponse. Je continuai donc d’avancer.
- Tu ne me parles pas souvent de toi, Jace.
- Pas envie.
- Et pourquoi ?
- Pas le temps.
- Tu me fais rire.
- Arrêtes d’être aussi agaçant. Zut alors.
- Quoi ?!
- Tu sais très bien, tu me provoques.
- Je ne te suis pas.
- Menteur.
- Explique-moi, je m’arrêterais. Et j’aurais l’air moins stupide.
- Tu es si agaçant, embêtant mais irrésistible, tu me fais fondre, Be…
Il m'arrêta sur ce dernier mot et m’enlaça, non ce n’était pas un baiser. Mais ça voulait en dire plus. Je ressentis sa chaleur sur mon corps et lui pouvait entendre mon cœur battre à cent à l’heure. Ce fut le début d’une passion qui continue encore aujourd’hui. Car c’est avec lui que je veux finir mes jours. Le sentir près de moi me redonne de l’oxygène et me fait avancer dans ce monde cruel, il me comprend mieux que personne. C’est mon ange gardien, mon Elliot Benjamin Wright.
Epilogue; Je ne peux croire au coup de foudre à présent. Je ne sais pas si un dieu existe, mais il a réalisé mon rêve le plus fou. Aujourd'hui, je veux vivre l'éternité à ses côtés. Mon amour pour lui est plus que certain, je n'en doute pas. Mais si un dieu est présent là haut, qu'il exauce mon souhait le plus fort; venger la mort de mon père avec Elliot à mes côtés. Dieu sait à quel point cette amertume grandi encore dans mon cœur, et je ne peux être tranquille, jusqu'à ce que j'ai la sang de cette bête sur mes mains. Je l'ai vue de mes yeux, j'en ai vu une et je sais que ce ne sont pas des légendes. Certains me prenne pour folle, mais ne vous inquiétez pas, je l'aurais. Tu pourras toujours être fière de moi, papa.
Dernière édition par Jacinth Vanderbilt le Lun 16 Fév - 1:59, édité 5 fois |
| | | | Cassyope G. De Casterán
• TERRIFIC & SADISTIC
_ Why so serious ?
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-ROUSSEAU-
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 20:48 | |
| Bien le bonjour belle demoiselle (j'aime Clémence Poésy (L) )
Bienvenue parmis nous & bonne chance pour la suite de ta fiche. | |
| | | | Gwenaël O'Quinn
I AM A
CUTE WOLF
•bouletadmin
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▬ Citation : « Penser que la vie humaine ne peut être régie que par la raison, c’est nier la possibilité même de la vivre. »
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▬ Musique du moment : Keane  Somewhere Only We Know.
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| | | | | Invité
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 21:09 | |
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| | | | Invité
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 21:46 | |
| Merci =D
Je finis ma fiche demain (: |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 22:27 | |
| Welome & Merci de ton inscription && Bonne chance pour la suite J'EDIT ton code  |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Ven 13 Fév - 23:35 | |
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| | | | Arseenah Ó Coileáin
sadistic joy •Tattoos are so old school, vampire bites are just so cool
▬ Nombre de messages : 194
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Sam 14 Fév - 0:24 | |
| Tout le monde aime Clémence ma foi ! *est pas jalouse du tout, pfff*
Bienvenue Mademoiselle (: | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Sam 14 Fév - 13:51 | |
| Mercii =D (c'est la première fois que je la prends d'ailleurs Oo)
Je suis en pleine rédaction de ma fiche ! =D |
| | | | P. Jordan McCoys
SON OF BITCH • You were wasted by a teenage mutant ninja angel?
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▬ Pseudo/prénom : Lexxie
▬ Citation : « On tue un homme, on est un assassin. On tue des milliers d'hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est Dieu. »
▬ Musique du moment : Your Guardian Angel - The Red Jumpsuit Apparatus
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| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Sam 14 Fév - 13:54 | |
| Bienvenue à toi (a) - Spoiler:
* moi j'iame bien clémence aussi, elle est cro belle (a) *
| |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Sam 14 Fév - 22:51 | |
| Est-il possible de faire une réservation ?
Je devrais finir ce soir mais c'est au cas où ^^ |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Sam 14 Fév - 23:45 | |
| Je te réserve ça pendant 5 jours.
Jusqu'au 19 février. |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Lun 16 Fév - 2:02 | |
| Présentation terminée, je crois. =D |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt Lun 16 Fév - 19:55 | |
| Très belle présentation.
Je t'approuve avec joie. |
| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt | |
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| | | | | | « Le pouvoir de l'amour vaincra mes ennemis » —Jacinth Vanderbilt | |
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